Lionel Galletti
Percussionniste chanteur
Familiarisé dès l’enfance avec la musique afro-cubaine, il s’initie aux percussions avec Dédé Saint Prix au sein du groupe Djiba (tambours et chants afro-antillais), concert à Banlieues Bleues, Musiques Métisses, la Nef entre 1993 et 1996.
Il intègre ensuite le groupe Djembé Faré (danse, chants et percussions traditionnelles Soussou), troupe franco-guinéenne conduite par les maitres Alseny « Solo » Cherif et Bakary Kouyate. Concert à Musiques Métisses en 1998.
De 1995 à 2000 il joue avec avec le groupe de funk Dawé qui enregistre deux CD et se produit notamment au Krakatoa de Bordeaux en première partie de Maceo Parker. C’est à cette époque qu’il s’envole à deux reprises vers Cuba (1997-2000) pour s’immerger dans la culture de l’ile. Il s’initie alors au répertoire Afro-cubain (Batas, Rumba, Yoruba, congo etc) avec Carlos « el Cojo » Hernandez et étudie les bongos avec Pepin Espinoza.
Peu après il commence à travailler avec le groupe de salsa Sandunga Latina (2001-2007), orchestre de 11 musiciens qui accueille régulièrement des chanteurs ou chanteuses originaire de Cuba.
Il participe comme compositeur et interprète à la musique du film « L’éclaireur » de Djibril Glissant (2005)
Il est co-fondateur du Super Mini Combo Nacional, quartet (puis sextet) afro-caribéen qui a réalisé plusieurs centaines de concerts entre 2007 et 2014, ainsi qu’un album paru en 2009.
Avec son acolyte Marina Bodet, il crée le duo electro-funk Chabaqi Chabaka en 2017.
Il est également membre du groupe Diya (musique mandingue électrique) du chanteur et musicien burkinabé Salif Diarra depuis 2020.